lundi 6 juin 2011

A la limite de l’overdose…






… des affaires affligeantes ?

Nous sommes des auditeurs fidèles de la radio dite de service public et nous constatons que nous avons de plus en plus de mal a supporter le matraquage que nous subissons depuis que DSK à dérapé sur une moquette de New-York. Cet événement a bénéficié d’un traitement particulièrement prolifique et a incontestablement mobilisé les beaux esprits de la station. Ces journalistes d’investigation, se sont, au fil des jours transformés en colporteur de ragots sérieusement amplifiés, depuis qu’un client du clan adverse est venu soutenir l’intérêt pour ce sujet qui a, c’est vrai, de l’importance mais dont personne à ce jour n’est capable d’assurer que les faits étalés qui abondent, dans des bulletins d’information sont fiables et totalement impartiaux. A mon humble avis nous assistons à un battage médiatique qui en amusant le gogo le détourne de problèmes plus importants et c’est la radio du château qui est sur ce créneau la plus percutante. C’est franchement lassant, irritant pour l’auditeur fidèle qui n’a, à la fin, qu’une seule envie : tourner le bouton du poste afin d’en finir avec ce feuilleton détestable !

Tous ces bons apôtres de la présomption d’innocence qui n’en finissent pas d’agiter les mêmes petits oripeaux sordides, toujours les mêmes depuis que l’affaire à explosé médiatiquement !

Les chaines de TV participent gaillardement à ce déballage malsain qui a fini par créer un climat de suspicion qui à gagné les enceintes de l’appareil d’Etat et l’on a même entendu des ministre et des parlementaires de sexe féminin déclarer devant micros et caméras qu’elles évitent de porter une jupe dans les allées du pouvoir ce qui semble étonnant et peu flatteur pour notre pauvre république à la ramasse!

Et tout cela démarre avant le show électoral ce qui menace la capacité pour le peuple d’absorber les discours de candidats de moins en moins crédibles car considérés tous pourris : la faute à qui ?

Alors si le silence radio intégral ne semble pas pour autant souhaitable un traitement différent permettant d’éviter l’overdose des affaires assez peu glorieuses devrait être possible pour redorer le blason de notre information nationale prétendue objective mais à tort !