… Imitations habituelles
et emplissait ma maison à mon retour de la kiné, je ne le voyais pas encore, j’entendais
son auditoire rire comme à chacune de ses apparition sur le petit écran !
Et lorsque mon fauteuil fut positionné face à l’écran je me retrouvais face à notre Président qui
officiait pour sa 3ème conférence de presse de sa mandature, le ton était,
assez enjoué, l’illusion parfaite c’était de fait de l’excellant Laurent Gérard, chapeau Mr le Président!
Dans cet exercice inventé
par de Gaulle ils s’y sont essayés tous avec des fortunes diverses.
Rapidement la joute engagée entre notre
Président, prétendu mal protégé, mais peu enclin de livrer à tous ces affamés
ses secrets d’alcôve me plaça dans un état second ou tournait dans le vide une
immense vis sans fin, devant un parterre royal à la fois bien fringué et bien
sage, dans un décor dédié !
Certes il fut question de
problèmes graves auxquels je n’ai pu résister longuement. J’ai du participer assez
mollement à cette énumération de vœux pieux, j’ai, bien involontairement zappé
des pans entier d’un plan génial qui risque de passer à la trappe lui aussi
pour cause de crise à répétition. Moi le handicapé en survie, toujours à
l’écoute des problèmes qui se posent à notre monde quelque peu pourrie, soucieux
de ne pas manquer une lueur d’espoir!
Ce
matin lorsque j’aurais échappé à mon lit médicalisé, je retrouverais
avec plaisir mon PC chéri et je pourrais analyser tranquillement les propos
présidentiels par la grâce de ce support de technologie nouvelle qu’est :
LE
HUFFINGTON POST
qui nous est offert, jour après jour, gratuitement par nos amis d’Amérique afin de nous aider à comprendre notre histoire du moment tricotée par un petit homme assurément vert et sportif dont tous nos médias parlent sans en parler, une sorte d’hypocrisie généralisée qui propulse, tout de même notre François dans le camp des héros de la confrérie de la gaudriole !
Alors je vous conseille la
lecture éclairante du numéro d’aujourd’hui de ce quotidien électronique certes
bien modéré sans tomber pour autant dans l’insipidité totale proposée par
des amis qui œuvrent dans la discrétion la plus totale.
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