Quand Nicolas se paye l’héritier du journal républicain « La Dépêche du Midi » et accessoirement Président du MRG, çà fait désordre dans notre Sud !
C’est avec tout de même un certain étonnement, que je relève en navigant sur le Net ces deux déclarations :
"Nicolas Sarkozy peut aussi compter sur la "grande majorité" des 18 radicaux de gauche, a confirmé jeudi leur président Jean-Michel Baylet. Deux PRG, Christiane Taubira et Chantal Robin-Rodrigo, ont toutefois fait part de leur intention de voter contre et un troisième, Gérard Delfau, a voté contre au Sénat."
Et sous la plume alerte de R Anglade de Bétapolitique une autre vision de la situation :
" Reste ce petit parti croupion mais charnière : les radicaux de gauche. Là, ça va être amusant. Déjà qu'ils rêvent de fusionner avec les radicaux de droite (dits "Valoisiens" parce qu'ils ont leur siège rue de Valois). Alors d'abord, on sauve Tapie, il pourra toujours servir. La Justice lui avait accordé 250 millions ? On accepte un arbitrage à 400 millions... Ca devrait le calmer et au passage lui laisser une petite cagnotte pour les perturber tous aux prochaines échéances...
Ensuite, Baylet, le patron du PRG. Pas très difficile non plus. On lui fait miroiter ce qui lui tient le plus à coeur : abaisser le seuil de création d'un groupe parlementaire pour que son parti puisse disposer de ce statut (et des confortables financements publics qui vont avec). Facile, non ? Et pour faire bonne mesure, son grand ami et conseiller Jean-François Hory est nommé Conseiller d'Etat. Ca devrait le faire, non ?
Effectivement, les plans du super président sont très instructifs. Car nous verrons, dès lundi, combien vaut la dignité de ce qui fut un grand parti progressiste." »
La Dépêche du Midi, c’est vrai, a connu bien d’autres périodes difficiles ! Mais il ne semble pas simple de pouvoir affirmer que M. Baylet conforte l’indépendance de son journal et cela ne va pas , hélas, rendre la tache des journalistes plus facile !
C’est avec tout de même un certain étonnement, que je relève en navigant sur le Net ces deux déclarations :
"Nicolas Sarkozy peut aussi compter sur la "grande majorité" des 18 radicaux de gauche, a confirmé jeudi leur président Jean-Michel Baylet. Deux PRG, Christiane Taubira et Chantal Robin-Rodrigo, ont toutefois fait part de leur intention de voter contre et un troisième, Gérard Delfau, a voté contre au Sénat."
Et sous la plume alerte de R Anglade de Bétapolitique une autre vision de la situation :
" Reste ce petit parti croupion mais charnière : les radicaux de gauche. Là, ça va être amusant. Déjà qu'ils rêvent de fusionner avec les radicaux de droite (dits "Valoisiens" parce qu'ils ont leur siège rue de Valois). Alors d'abord, on sauve Tapie, il pourra toujours servir. La Justice lui avait accordé 250 millions ? On accepte un arbitrage à 400 millions... Ca devrait le calmer et au passage lui laisser une petite cagnotte pour les perturber tous aux prochaines échéances...
Ensuite, Baylet, le patron du PRG. Pas très difficile non plus. On lui fait miroiter ce qui lui tient le plus à coeur : abaisser le seuil de création d'un groupe parlementaire pour que son parti puisse disposer de ce statut (et des confortables financements publics qui vont avec). Facile, non ? Et pour faire bonne mesure, son grand ami et conseiller Jean-François Hory est nommé Conseiller d'Etat. Ca devrait le faire, non ?
Effectivement, les plans du super président sont très instructifs. Car nous verrons, dès lundi, combien vaut la dignité de ce qui fut un grand parti progressiste." »
La Dépêche du Midi, c’est vrai, a connu bien d’autres périodes difficiles ! Mais il ne semble pas simple de pouvoir affirmer que M. Baylet conforte l’indépendance de son journal et cela ne va pas , hélas, rendre la tache des journalistes plus facile !