jeudi 16 octobre 2008

Non les vieux démons capitalistes ne sont pas morts !


Pendant que les États, qui n’ont jamais eu le courage d’intervenir contre ces spéculateurs clairement identifiés qui pillaient ouvertement la planète à leur seul bénéfice, recherchaient des milliards pour colmater les brèches, ces malfrats attendaient patiemment que les cours soit au plus bas pour pouvoir à nouveau réaliser des opérations fructueuses ! Et ces gens là ne risquent pas d’être inquiétés puisque rien n’a changé dans le système et c’est donc, à nouveau, sans se cacher que ces malins, qui font l’admiration de tous les nantis du Capitalisme sont repartis en vendange semant une fois de plus la panique chez les petits porteurs et laissant les nouveaux apprentis sorciers-moralisateurs sur le bord du chemin avec leurs solutions boiteuses et leur rêve un peu fous de dominer, enfin, ce beau monde à leur tour !

Tout cela est pourtant clair comme de l’eau de roche mais cela n’empêche pas nos moutons de France de tomber une nouvelle fois dans le panneau ! Ils sont si fiers de leur berger, maitre provisoire d’une Europe balbutiante, qui les a impressionnés en rassemblant un incroyable paquet de milliards -peut-être virtuels- et soi disant capables de ramener la confiance dans les marchés. Ils ont cru au miracle et ils sont prêts à se prosterner au pied du maitre et pourtant rien n’est encore gagné car le veau d’or est toujours debout prêt a affamer les plus fragiles ,encore juché sur des montagnes de profits nauséabonds !

Il n’y a pourtant pas de quoi pavoiser ! Mais comment ramener tous ces moutons bêlants à une vision plus juste de notre situation actuelle ! Ces gens là sont désespérants et si naïfs qu’ils sont toujours capables de croire que le bonheur est pour demain en faisant confiance à leurs gentils bourreaux !

C’est déconcertant voire impensable et pourtant c’est bien la réalité du moment !

Alors il est clair qu’il faut dénoncer expliquer et convaincre si demain nous voulons pouvoir vivre simplement ,mais décemment ,du fruit de notre travail comme des humains ordinaires ,en dépit de tous les prédateurs !

Il semble pourtant clair que les capitalistes n’aiment pas le peuple qui pourtant leur procurent la plus grande partie de leur richesse !


C’est tout simple : le capitaliste ne roule qu'à l’argent !