samedi 23 août 2014

La dialyse un monde qui bouge?


D’entrée, je dois préciser que ne suis pas un grand Patron familier des colloques internationaux que les médias s’arrachent pour donner des avis pertinents,  qui laissent souvent  sans voix une catégorie moins présente dans ce débat, le patient, qui dans le  Privé ou dans le Public participe à l’enrichissement  des créateurs de ces robots de plus en plus sophistiqués qui épurent le sang de tout ceux qui comme moi  ne peuvent plus compter sur le bon fonctionnement du matériel embarqué d’origine, dans le cas présent il s’agit  bien des reins !
Dans ce domaine l’action de la Sécurité Sociale a été déterminante, elle a investit des espèces sonnantes et trébuchantes, à un niveau capable de réveiller les bas instincts des requins, plus ou moins bien, installés dans le secteur social, ou ils prospèrent tranquillement. La matière première  ne risquant pas de manquer l’avenir semble assuré pour ce beau monde qui sous couvert de participer à l’allongement de la vie humaine se livrent à un biseness tout à fait stimulant ! Mais pourtant, ce système, à tout de même permis des avancées, je n’ai pas l’intention de le nier, mais il y encore trop de toubibs qui jouent le jeu des laboratoires, qui soignent, par exemple, le diabète en détruisant les reins, créant une chaîne capable d’alimenter tous centres de dialyse de France et de Navarre !
Notre société libérale est en effet capable d’engendrer de telles dérives, mais lorsque l’on se retourne sur notre passé on est assailli par des frisons. Quand je pense à mon grand père Edouard, lâché par ses reins et qui a vécu une agonie épouvantable, agonie que j’ai vécu, gamin et en direct  avec ma mère, en l’absence de mon Marcel de père qui au même moment, montait un express à Brive-la-Gaillarde. Combien de fois ais-je revécu cette agonie, mes nuit sans sommeil, depuis que je suis engagé dans le même chemin que mon grand père Edouard ?
C’est vrai que la technologie à bien évolué et une certaine prise en compte de la douleur,  est réelle  çà et là, question de chance car les hommes, eux, ne sont certainement pas meilleurs…