L’hôpital usine tel que nous le connaissons aujourd’hui frise la caricature et c’est bien dommage pour les patients qui pouvaient espérer mieux de notre république qui finalement n’est bonne qu’avec ceux qui la serve mais avec une certaine docilité !
Mais revenons à notre belle usine pour moutons de France qui du hall d’entrée a ses entrailles recèle une grande variété de métiers qui engendrent une grande quantité de microcosmes plus ou moins efficaces et actifs managés par un super gestionnaire dont le soucis principal est que la machine tourne à plein régime en dépensant de moins en moins de crédits donc en rognant sur tout mais, tout de même, sans porter préjudice aux plus favorisés!
Pas étonnant que ce soit le patient, matière première indispensable au fonctionnement de l’usine, qui en fasse les frais car rentabilité n’a jamais fait bon ménage avec écoute, disponibilité, soin de qualité et totale sécurité !
Mais ce n’est pas très grave puisque l’assistance à la santé à plusieurs vitesses fonctionne déjà, l’hôpital public étant automatiquement réservé aux moins bien nantis, alors le pire est toujours jugé suffisant par nos bons maitres !
Quant au monde hospitalier il englobe des purs et des moins purs, des malins et des demis malins mais aussi de véritables parasites qui même s’ils ne sont pas grassement rétribués en font le moins possible, en geignant en permanence en perturbant le travail des autres, tout en ignorant superbement l’intérêt du patient.
Il n’est donc pas surprenant que les dégâts collatéraux ne soient pas si rares mais bien acceptés par ce monde de l’hôpital plus intéressé par son nombril et ses petits avantages que par l’état sanitaire de notre douce France. En somme ces gens là aidés par l’action continue, mais scélérate, des gestionnaires pourrait être nominés, donc cités, comme exemple à la nation puisqu’au final ils détiennent une solution rapide du problème de la retraite dans notre république toujours plus impliquée dans la survie des puissants !
A méditer avant les élections !