jeudi 12 janvier 2012

Bruissements…

Ce n’est pas encore un torrent de rumeurs mais on sent tout de même comme un malaise qui grandit au niveau zéro de la grande usine ou se trouve implantée la nouvelle dialyse de Jacques Monod !
Après avoir longuement supporté les inconvénients imposés par des locaux en fin de vie les usagers de la nouvelle dialyse, soignants et aussi patients ont bien été obligés de constater que la nouvelle implantation a été réalisée sans que les concepteurs du nouveau projet ne prennent langue avec les différents utilisateurs de ce nouveau local. On peut donc affirmer qu’il a été réalisé, pour un montant non négligeable, des travaux qui n’enthousiasment ni le personnel soignant et pas davantage les pauvres patients que l’on semble considérer comme des gus aux bulbes crâniens sérieusement déficients, donc incapables d’avoir la moindre idée sur le sujet. Et d’ailleurs ces grosses têtes ne sont pas loin de penser que les usagers doivent être simplement reconnaissant de l’opportunité qu’il leur est offerte d’avoir à bon compte un supplément de vie, sans pour autant être invités à donner leur avis sur ce lieu où ils passent une partie de leur survie !
L’essentiel pour ces gestionnaires là étant d’obtenir un fonctionnement au moindre coût, le reste n’ayant pour eux qu’une importance relative ! L’on pourrait se demander pourquoi au fond l’on a engagé des sommes aussi conséquentes pour obtenir un résultat aussi moyen!

Et ce n’est pas tout, des bruissements insistants laissent à penser que l’on va faire bombance en petit comité à l’occasion d’une inauguration entre gestionnaires, concepteurs avec la participation de tous ceux qui ont œuvré sur ce beau chantier mais sans la présence de ceux qui l’animent quotidiennement!
L’on parle beaucoup de serrer les dépenses mais pour ces gens là rien n’a changé, c’est bien dommage et pire encore nous risquons d’assister, toujours, en spectateurs, au triomphe de ces gestionnaires qui se trouvant toujours du bon coté du manche recueillent facilement des promotions !

Mais il y a, parfois, des bruissements qui ont déclenché des tempêtes. Alors, attendons !