« Le Washington Post disait donc vrai. Deux mois après les premières révélations d'Edward Snowden,
l'administration de Barack Obama a reconnu mercredi soir que l'Agence
nationale de sécurité (NSA) avait bien violé la loi entre 2008 et 2011
en interceptant illégalement des courriers électroniques d'Américains
sans liens avec le terrorisme. »
Après cet aveu, incomplet, l’on peut facilement imaginer que tout le monde écoute tout le monde, la conscience en repos, puisque la raison invoquée est la « sécurité ». Alors, il faut bien admettre que les lois ne font pas le poids dans tous ces pays qui se vantent de pratiquer une démocratie sans faille !
Punir les donneurs d’alertes semble naturel à ceux qui enfreignent les lois ! Qu’on se le dise ! La formule est souple et a donc pu être facilement accommodé par la Suisse, un pays particulièrement démocrate, qui depuis peu embastille tout naturellement ceux qui trahissent le secret bancaire.
Cette maladie contagieuse devrait permettre à nos sécuritaires bien pensants de se débarrasser de cette catégorie qu’ils méprisent, les pourtant indispensables donneurs d’alertes qui ont le courage de nous prévenir lorsque ces beaux Messieurs franchissent la ligne rouge !
Les adaptations n’étant pas difficiles lorsqu’un lièvre est soulevé par un pays ami, l’espionnage patent devient de l’assistance bénévole à la sécurité du dit pays ami. Et puis tous ces gentils dirigeants se congratulent on appelle çà de la diplomatie efficace, sans rire?
Il semble aussi naturel, en 2013, qu’une démocratie qui fonctionne normalement, doive avoir un taux de remplissage de ses prisons voisin de 100%. Si vous doutiez de la pertinence de nos dirigeants vous pouvez, vous lâcher, car en douce France l’on avoisine les 140% ! Ce qui semble offrir un avenir radieux aux bâtisseurs dans cette spécialité. Encore un truc bien de chez nous « la transparence », elle est partout alors qu’en Amérique il la cherche toujours ! On ne peut pas tout avoir ! Ils ont déjà le gaz de schiste qui les a fait rebondir avant de les escagasser ! Cela pour vous faire comprendre que si les français ne sont pas tous malins- malins mais ils ont un nez à truffer quand ils choisissent leurs dirigeants,
Alors, avec un peu de chance, il ne peut rien nous arriver de grave ?
Après cet aveu, incomplet, l’on peut facilement imaginer que tout le monde écoute tout le monde, la conscience en repos, puisque la raison invoquée est la « sécurité ». Alors, il faut bien admettre que les lois ne font pas le poids dans tous ces pays qui se vantent de pratiquer une démocratie sans faille !
Punir les donneurs d’alertes semble naturel à ceux qui enfreignent les lois ! Qu’on se le dise ! La formule est souple et a donc pu être facilement accommodé par la Suisse, un pays particulièrement démocrate, qui depuis peu embastille tout naturellement ceux qui trahissent le secret bancaire.
Cette maladie contagieuse devrait permettre à nos sécuritaires bien pensants de se débarrasser de cette catégorie qu’ils méprisent, les pourtant indispensables donneurs d’alertes qui ont le courage de nous prévenir lorsque ces beaux Messieurs franchissent la ligne rouge !
Les adaptations n’étant pas difficiles lorsqu’un lièvre est soulevé par un pays ami, l’espionnage patent devient de l’assistance bénévole à la sécurité du dit pays ami. Et puis tous ces gentils dirigeants se congratulent on appelle çà de la diplomatie efficace, sans rire?
Il semble aussi naturel, en 2013, qu’une démocratie qui fonctionne normalement, doive avoir un taux de remplissage de ses prisons voisin de 100%. Si vous doutiez de la pertinence de nos dirigeants vous pouvez, vous lâcher, car en douce France l’on avoisine les 140% ! Ce qui semble offrir un avenir radieux aux bâtisseurs dans cette spécialité. Encore un truc bien de chez nous « la transparence », elle est partout alors qu’en Amérique il la cherche toujours ! On ne peut pas tout avoir ! Ils ont déjà le gaz de schiste qui les a fait rebondir avant de les escagasser ! Cela pour vous faire comprendre que si les français ne sont pas tous malins- malins mais ils ont un nez à truffer quand ils choisissent leurs dirigeants,
Alors, avec un peu de chance, il ne peut rien nous arriver de grave ?
