jeudi 13 mars 2014

La dialyse: une attente éprouvante?


Moi je rentre essoré de la dialyse de Monod, avec ou sans docteur, avec plus ou moins de bonheur pour ma pauvre fistule...
C’est pourtant une affaire simple je sais que la dialyse ne guérit pas. Comme le commun des mortels je vais crever. Mais quand? je l'ignore!...
Je crois,toutefois, que l'on pourrait me traiter en bipède responsable et  pour cela il suffirait  que l'on me retire un peu de liquide afin de m'éviter la noyade... avec ou sans toubib!

Alors ce qui se passe présentement n'est pas très sympathique, je suis victime du système trois heures c'est trois heures et il en va de même pour le liquide retiré 2kg500 : c'est le seuil qu'il faut atteindre, en fait je suis l'otage des robots d'un système jusqu'au boutiste .
 Mon régime est voisin de celui d'une certaine maltraitance ordinaire !

Voilà, sans fart ce que je pense,qui résumé en une seule phrase donne:"l'on pourrie,en ce moment, ce supplément de vie que l'on m'offre..."