jeudi 1 mai 2014

Dans un monde peuplé d’opportunistes ou le plus cynique est roi…




Lorsque l’on observe notre monde pourtant qualifié de très  communicant, l’on constate que les hommes ne ce sont jamais sentis aussi seul, perdus dans un univers humain peuplé d’individualistes forcenés et le résultat n’est pas certes décevant, puisqu’il est conforme à la réalité du terrain.
Qui, dans un conteste pareil, attire encore l’attention du peuple, la télévision parce qu’elle est furieuse et souvent déjantée mais aussi joueuse, souvent voyeuse. Digne remplaçante des jeux du cirque atrocement violent et sanguinaire qui ont fait vibrer les hommes depuis nos origines. C'est une fenêtre ouverte ou s’étale la vie pourrie de notre monde qui donne la nausée mais qui reflète bien l’état du monde dans lequel nous vivons et dont nous ne savons pas nous passer ! Donc rien ne change, rien ne peut changer, la Sème nous attribue régulièrement un maître tout puissant pour la durée de son mandat. Nous en avons un nouveau, depuis deux ans, un as de la synthèse, formé rue de Solférino. Portant fièrement l’estampille de la Gauche, il succédait à un homme de Droite rejeté par le peuple  qui, lui se croyait le maître du monde.
 Notre  nouveau maître  fit étalage de sa modestie et se prétendit « normal » d’entrée, mais rapidement nous nous rendîmes compte que ce qualificatif se rapportait à sa seule zigoulette, ce qui lui valut l’estime des mâles plus ou moins en rut, mais ici nous abordons le domaine privé si cher à une majorité de français qui n'en sont pas moins fiers d’avoir des dirigeants virils. Mais il n’en alla pas de même lorsque les moutons de France s’aperçurent que leur élu de gauche pratiquait, panache en moins, la politique de son prédécesseur, ce fut la dégringolade dans les sondages pour un résultat bien maigre, seulement la mauvaise humeur, prudente, d’une poignée de parlementaire socialiste, une appellation qui ne veut plus dire grand-chose !

A l’aube de la mise en place de ce plan d’austérité, qui ne porte pas son nom, lorsque l’on appartient à la grande famille du handicap, dans sa partie médiane et dont les pensions sont bloquées, mais qui doivent faire face à des factures d’assistance de plus en plus lourdes. Ce n’est pas encore l’angoisse mais elle n’est pas bien loin ! Surtout lorsque l’on sait que le plan handicap a été repoussé aux calendes grecques !

La sagesse du peuple clame : Tant qu’il il y a de la vie il y a de l’espoir !
Moi cela ne me rassure pas, en effet, je pense que tout ce beau monde de profiteurs nous programment une fin qui ne sera pas facile et nous   serons en bonne compagnie…
Assisterons-nous à la révolte des fauteuils roulant ?