Scandale après scandale, le pognon affirme qu’il est le roi,
rien de nouveau sous le soleil, mais en ce moment l’on bat des records de
cupidité. En effet la contamination semble n’épargner aucun secteur, depuis les
banques internationales en passant par les politiques, avec en bout de chaîne
le petit magouilleur, qui incrusté dans les profondeurs de l’hôpital n’a qu’un
seul objectif arrondir ses fins de mois. Cette ronde infernale n’émeut plus
personne dans notre beau pays, qui ne fait plus rêver que les parias de la planète,
qui se pressent à nos frontières après avoir grassement monnayé leur passage, toujours
aussi aléatoire, auprès de négriers de nouvelle génération. En somme nous
vivons dans un monde ou la magouille est reine, ce qui n’incite pas le peuple
des électeurs à se précipiter vers les urnes mais cela facilite où ne gène
nullement les combinaisons et le jeu de nos politiciens contaminés par les ors
de notre république. Une république à bout de souffle, donc à réinventer !
Ce qui ne me semble pas si simple vu que les dirigeants de la Vème disposent de
puissants moyens pour maintenir le peuple dans son asservissement par le
libéralisme. Le pouvoir d’avant la crise était certes plus confortable mais il
comporte encore pas mal d’attrais pour un bonhomme qui s’est estampillé normal,
avant ou après avoir désigné la Finance Internationale comme ennemi N°1. L’histoire
nous la connaissons bien car nous là vivons au jour le jour et elle est bien cruelle.
Le peuple avait cru porter au pouvoir un Président de gauche,
mais à y regarder d’un peu plus près il pratique la même politique de son prédécesseur,
que nous avions réussi à déboulonner.
Impossible de rêver longuement, nous
nous sommes réveillés cocus de main de maître par l’expert en synthèses,
inconsistant, bon vivant et gesticulateur. En somme l’exemple parfait du
profiteur légal.
Aujourd’hui je vois notre avenir bien sombre du haut de mon
fauteuil roulant et je doute que cet
homme nous facilite l‘accès aux lendemains qui chantent. A voir comment notre
homme à réagi lorsque les intermittents du spectacle ont voulu manifester
devant l’Assemblée Nationale, ces images ont réveillé ma mémoire subitement j’ai revu, ce socialiste pur et dur qui a fait tirer, par l’armée,
sur les grévistes, c’était à Decazeville, un membre de ma famille était impliqué
dans cette péripétie de notre histoire ! Un souvenir à classer, peu
glorieux mais qui peut se reproduire dans une forme, plus moderne, de barbarie
légale !
A bon entendeur salut ! Quand l’on touche à la gamelle d’un élu socialiste,
l’on touche à la France, ce qui peut enclencher la machine à réprimer…