dimanche 22 juin 2014

Ce pognon qui rend fou...




Scandale après scandale, le pognon affirme qu’il est le roi, rien de nouveau sous le soleil, mais en ce moment l’on bat des records de cupidité. En effet la contamination semble n’épargner aucun secteur, depuis les banques internationales en passant par les politiques, avec en bout de chaîne le petit magouilleur, qui incrusté dans les profondeurs de l’hôpital n’a qu’un seul objectif arrondir ses fins de mois. Cette ronde infernale n’émeut plus personne dans notre beau pays, qui ne fait plus rêver que les parias de la planète, qui se pressent à nos frontières après avoir grassement monnayé leur passage, toujours aussi aléatoire, auprès de négriers de nouvelle génération. En somme nous vivons dans un monde ou la magouille est reine, ce qui n’incite pas le peuple des électeurs à se précipiter vers les urnes mais cela facilite où ne gène nullement les combinaisons et le jeu de nos politiciens contaminés par les ors de notre république. Une république à bout de souffle, donc à réinventer ! Ce qui ne me semble pas si simple vu que les dirigeants de la Vème disposent de puissants moyens pour maintenir le peuple dans son asservissement par le libéralisme. Le pouvoir d’avant la crise était certes plus confortable mais il comporte encore pas mal d’attrais pour un bonhomme qui s’est estampillé normal, avant ou après avoir désigné la Finance Internationale comme ennemi N°1. L’histoire nous la connaissons bien car nous là vivons au jour le jour et elle est bien cruelle.
Le peuple avait cru porter au pouvoir un Président de gauche, mais à y regarder d’un peu plus près il pratique la même politique de son prédécesseur, que nous avions réussi à  déboulonner. Impossible de rêver longuement,  nous nous sommes réveillés cocus de main de maître par l’expert en synthèses, inconsistant, bon vivant et gesticulateur. En somme l’exemple parfait du profiteur légal.
Aujourd’hui je vois notre avenir bien sombre du haut de mon fauteuil roulant  et je doute que cet homme nous facilite l‘accès aux lendemains qui chantent. A voir comment notre homme à réagi lorsque les intermittents du spectacle ont voulu manifester devant l’Assemblée Nationale, ces images ont réveillé ma mémoire  subitement j’ai revu, ce  socialiste pur et dur qui a fait tirer, par l’armée, sur les grévistes, c’était à Decazeville, un membre de ma famille était impliqué dans cette péripétie de notre histoire ! Un souvenir à classer, peu glorieux mais qui peut se reproduire dans une forme, plus moderne, de barbarie légale !
A bon entendeur salut ! Quand l’on touche à la gamelle d’un élu socialiste, l’on touche à la France, ce qui peut enclencher la machine à réprimer…